Un grand merci à Linda Colliot du Collectif Reinfo Covid Nantes pour la publication de cette magnifique lettre ouverte de ces personnes au cœur du don de la Vie.
Un grand merci au Collectif Sages femmes Unies pour un choix libre et éclairé en santé pour la réalisation de cet argumentaire détaillé et sourcé.
COVID-19 ET VACCINATION, REGARD DE SAGES-FEMMES (octobre 2021)
Lettre ouverte au Conseil de l’Ordre des Sages-Femmes
Préambule
Chères consœurs, ce document a été réalisé afin de vous présenter nos doutes sur les affirmations contenues dans la Newsletter du Conseil National de l’Ordre des Sages-femmes reçue le 14 septembre 2021.
Celle-ci affirme le caractère indiscutable de la nécessité que nous-même, ainsi que nos patientes, soyons injectées avec les nouveaux vaccins à ARNm contre la Covid-19. Ceci de façon systématique. Il est précisé que toute opinion contraire sera passible de sanctions. Cette fermeté s’appuie selon les termes utilisés par le Conseil sur le fait que "les femmes enceintes sont particulièrement vulnérables en cas de COVID", ainsi que "le bien-fondé de la vaccination contre le COVID [basé sur] l’unanimité des études scientifiques".
Voici donc les bases de notre désaccord, car comme nous allons l’exposer, nous n’avons pas constaté l’unanimité des études scientifiques, et n’avons pas la certitude d’un bénéfice-risque certain, favorable à la vaccination pour toutes les femmes enceintes (ni pour certaines autres catégories de population).
Nous ne sommes pas contre la vaccination en général. Nous sommes vaccinées envers diverses affections, que ce soit pour des risques professionnels ou personnels.
Nous étions jusqu’au 15 septembre 2021 des professionnelles classiques, dont l’éthique, le sérieux ou les compétences n’avaient pas été remis en causes.
Selon notre code de déontologie "La sage-femme ne peut aliéner son indépendance professionnelle sous quelque forme que ce soit".
Pourtant depuis ce jour, nous voici empêchées dans notre liberté d’exercice, privées de notre indépendance professionnelle quant à l’utilisation des données actuelles de la science, par l'Ordre qui est précisément le garant de cette indépendance.
Voici nombre d’entre nous contraintes de cesser leur exercice, avec une immense tristesse, et malgré les difficultés engendrées pour nous, nos familles et nos patientes.
Nous voici contraintes à cesser de pratiquer notre art. Soit parce que la loi nous l’interdit, soit parce que nous ne pouvons plus l’exercer sans aliéner notre indépendance professionnelle. Nous ne sommes plus autorisées à transmettre à nos patientes ce que nous considérons, en notre âme et conscience, et après étude des données de la science, comme les éléments nécessaires à un choix libre et éclairé dans leur accompagnement. Ceci nous semble en désaccord avec la convention d'Oviedo de 1997 [1].
Bien entendu, ce serait avec grand plaisir que nous consulterions les publications et avis documentés d’experts qui ont sous-tendu la position du Conseil National de l’Ordre des SagesFemmes, car les références n’étaient pas présentées dans la Newsletter.
Nous vous souhaitons une bonne lecture du document, et restons à votre disposition pour tout échange ou information complémentaire. Afin que vous puissiez conserver un plaisir de lecture, nous avons sélectionné les informations qui nous semblent les plus pertinentes. Mais nous pouvons développer plus avant certains points, ou en aborder bien d’autres sur lesquels nous avons travaillé avant et pendant l’élaboration de ce document. Si vous nous en faite la demande, ce sera avec plaisir que nous entamerons un dialogue.
1. Covid et grossesse:
Le CNOSF a affirmé dans sa Newsletter du 14/09/2021 que les femmes enceintes sont "particulièrement vulnérables en cas de covid" .
Pourtant, ni notre vécu professionnel, ni nos informations sur l’actualité médicale depuis 18 mois ne vont dans le sens d’une vulnérabilité exceptionnelle de nos patientes. Notre perception correspond d’avantage à celle du Dr Olivia Anselem lorsqu’elle écrit "La majorité des femmes enceintes atteintes de COVID-19 ne présente pas de signe de détresse respiratoire et relève d’une prise en charge ambulatoire avec une évaluation du risque thrombo-embolique" [2].
Notre lecture de la méta-analyse "Clinical manifestations, risk factors, and maternal and perinatal outcomes of coronavirus disease 2019 in pregnancy: living systematic review and meta-analysis" de John Allotey, Elena Stallings et al. [3] conforte cette position.
Nous avons choisi cette méta-analyse car les panels représentés dans les études sont souvent faibles. Par exemple en 2020, durant 6 mois, un établissement en Israël n’a réussi à inclure que 172 patientes positives au Covid dans son étude, dont 56 symptomatiques versus 2299 patientes négatives au Covid.
Cela explique certainement notre perception de terrain concernant la fréquence modérée dans notre patientèle.
Les résultats apportés ne montrent aucune issue fatale maternelle ou fœtale. Du fait du petit échantillon la variation spécifique des risques est parfois favorable aux cas Covid, ce que l’on ne retient bien entendu pas comme probant. On note une augmentation modérée des risques composés, mais le faible échantillon limite le poids de ces résultats [4].
L’analyse des tableaux et des commentaires de la méta-analyse d’Allotey, permet de relativiser l’accroissement des risques. Nous rejoignons ainsi l’analyse faite par le Dr Hélène Banoun [5]. Il ne s’agit pas de dire que les risques sont inexistants, mais moins importants que ce que l’on pouvait craindre initialement au regard de l’expérience du Sars-cov1 [6].
Cette méta-analyse rapporte un taux de décès toutes causes chez les femmes enceintes atteintes de covid qui n’est pas statistiquement différent de celles des femmes en age de procréer atteintes de covid [5].
Pourtant, les femmes enceintes covid+ meurent plus que les covid- (0,7 vs 0,2) OR2,85 mais les OR vont de 1,08 à 7,52 montrant une grande disparité de résultats selon les séries. L’augmentation de mortalité porte essentiellement sur les femmes avec comorbidités.
Les accouchements prématurés sont un peu plus fréquents 12,4 VS 7,8 OR 1,47 (1,14 à 1,91), et semblent souvent liés à une prématurité induite.
Concernant les séjours en réanimation pour covid, le taux de passage est très faiblement supérieur pour les femmes enceintes (1,8%) en comparaison de celles non enceintes (1,7%). Il est probable que les craintes liées à la cohabitation de covid et grossesse amènent à une mutation en réanimation plus rapide chez une femme enceinte que chez une patiente non enceinte avec un tableau clinique équivalent.
Nous avons par ailleurs relevé les éléments suivants:
Les auteurs s’interrogent sur l’influence de pratiques obstétricales ayant entraîné l’augmentation de la prématurité, car selon eux "les taux globaux de naissances prématurées spontanées chez les femmes enceintes atteintes de la covid-19 étaient globalement similaires à ceux observés pendant la période pré-pandémique".
Les auteurs précisent la fragilité de leurs résultats au regard de la faible qualité de certaines études, de faibles cohortes, et de leur nombre limité pour comparer des problématiques en détail. Les études et cohortes ne seraient-elles pas plus étoffées si de nombreuses femmes enceintes ou enfants étaient gravement atteints?
Nous retenons de cette méta-analyse, qu’il conviendra de suivre ses évolutions car les auteurs espèrent renforcer leurs résultats dans l’avenir.
Ce suivi nous semble important aussi car on ne peut exclure l’hypothèse d’une amélioration du déroulement et de l’issue des grossesses à venir. En effet, les premières études publiées sur le sujet reflètent les conséquences d’une prise en charge qui s’est considérablement améliorée, par exemple avec le diagnostic et traitement précoce de l’hypoxie heureuse et la prévention thromboembolique. L’importance et la fréquence de l’atteinte pourraient dépendre aussi des variants qui émergeront à l’avenir.
Dans les commentaires de l’étude, un auteur interpelle sur les troubles de placentation et développement placentaire liés aux protéines virales. Leur surveillance sera interressante, ainsi que la comparaison avec l’influence de la protéine spike secrétée suite à la vaccination qui pourrait affecter cet organe essentiel.
Enfin et surtout, nous retenons que ce sont les facteurs de risque qui entraînent la sévérité de l'infection Covid, plutôt que le fait d'être enceinte. Ces facteurs de risques sont ceux connus dans la population générale: obésité, age maternel avancé, diabète, hypertension artérielle en particulier. Le critère non-blanc évoqué comme facteur de risque, pourrait se traduire en France par faible niveau socio-économique, mais cette transposition reste hasardeuse au regard des différences de contextes franco-américains et ne constitue pas un signal certain car il peut émerger par corrélation avec d’autres facteurs de risques.
Il convient donc d’apporter une attention particulière à ces patientes, plutôt que de considérer comme un groupe homogène "les femmes enceintes", et de miser sur des politiques de santé publique pour prévenir ces facteurs de risques.
Concernant l’évaluation du rapport bénéfice-risque du vaccin, elle nous semble devoir être adaptée à chaque patiente, en l’aidant à se situer sur l’échelle des risques afin de pouvoir réaliser un choix éclairé.
2. Immunité naturelle ou induite par une injection:
Jusqu’à ce jour, pour toute maladie, l’immunisation naturelle a été considérée comme supérieure à l’immunité induite. Pour le Covid, une étude in vitro a confirmé la supériorité immunisante d’une primo infection sur un schéma vaccinal [7].
In vivo, la méta-analyse de Mahesh B. Shenai et al. [8] confirme ce que les connaissances basiques en immunologie faisaient attendre: L’immunité naturelle concerne l’ensemble des éléments du virus. Elle est plus efficace que l’immunité induite par l’injection qui ne concerne que la protéine spike portée par la souche Wuhan, et qui diffère dans les variants.
Les personnes ayant déjà développé un Covid ont 0,1 à 1% de risque d’en développer un à nouveau, sans augmentation du risque au fil du temps [9].
L’immunité naturelle est durable. Une immunité cellulaire persiste bien au-delà de la présence d’anticorps mesurables. On a pu constater pour le Sars de 2003, qu’elle persiste au moins 17 ans. Nous n’avons pas ce recul pour le Covid mais on a déjà pu observer cette persistance de cellules mémoires au moins 14 mois après l’infection [10].
L’injection, en ciblant l’immunité sur la seule protéine spike pourrait affaiblir l’immunité naturelle du patient guéri en la canalisant contre la spike, l’empêchant ainsi d’utiliser d’autres voies pour s’adapter aux variants [11].
La prise en compte d’une immunité de qualité selon le seul critère du taux de certains anticorps n’est pas indiscutable. La voie cellulaire de l’immunité pourrait aussi être un critère d’évaluation judicieux. Les anticorps sont de natures et actions variables. Ils pourraient parfois agir comme des anticorps facilitant la maladie (opsonisants) [10] [12].
Puisqu’il n’y a pas de supériorité statistique de la vaccination sur l’immunité naturelle [8] et qu’il est évoqué une protection 27 fois supérieure avec l’immunité naturelle [10], pourquoi imposer une injection aux soignants ayant déjà contracté la maladie, et la promouvoir avec forte insistance auprès des patientes primo-infectées?
D’autant que la vaccination des primo-infectés paraît à ce jour comporter plus de risques que celle des sujets naïfs à la maladie, pour un bénéfice inférieur voire nul. Ces risques peuvent être une augmentation des effets indésirables de l’injection, une détérioration de l’immunité naturelle des convalescents, une modification générale de leur immunité les sensibilisant à d’autres virus, ou une réactivation de cancers [7].
Ainsi, Mahesh, Shenai et al., concluent en septembre 2021, qu’il est préférable de respecter une décision individualisée et un libre choix du sujet en cas de primo-infection préexistante [8].
3. Efficacité des injections et réflexions sur la vaccination anti-Covid
Depuis l’annonce initiale en décembre 2020 d’une efficacité relative à 91% voire 95% (pour prévenir les formes légères à modérées) [13], l’évaluation de cette protection contre le variant delta aux États Unis est descendue à 66% en avril 2021 selon le CDC (Center for Disease Control and Prevention). La presse généraliste elle-même se fait le relais de cette information [14]. Les études et observations ultérieurs n’ont pas accru cette efficacité, voire l’ont abaissée.
La situation d’Israël confirme la fin de l’idéalisation de la vaccination de masse afin de faire disparaître l’épidémie.
Ce pays pourtant massivement injecté a connu en Août 2021 le plus grand nombre de contaminés recensés depuis février 2020 [15] [annexe 1]. Cela rend bien compte de la limite de l’efficacité d’une politique "tout vaccinal". D’autant que cette dégradation de la situation depuis l’arrivée de la vaccination touche les Seychelles, la Mongolie et d’autres pays encore [16].
Une étude réalisée sur 68 pays et 2947 comtés des États-Unis confirme l’absence d’efficacité de la vaccination de masse pour gérer la problématique du Covid, et encourage les états à revoir leurs positions politiques afin qu’elles soient en relation avec la connaissance scientifique [17].
Les personnes avec un schéma vaccinal complet peuvent contracter la maladie et peuvent la transmettre. Ainsi les mêmes précautions face à la contagion doivent être prises chez les vaccinés et les non vaccinés selon le CDC [18].
En France, afin de soutenir la loi sur l’injection des soignants et le pass sanitaire, il a été dit que les non vaccinés étaient 12 fois plus contagieux que les vaccinés.
Ce chiffre n’était pas basé sur l’observation clinique, mais sur un modèle mathématique présenté par l’Institut Pasteur.
Le pré-print de cette modélisation [19] prônait dans ses conclusions une vaccination de masse, y compris des enfants. Peut-être en relation avec les critiques et une plainte à son encontre [20], cette étude a été modifiée depuis [21].
L’excès de contagiosité, toujours basé sur un modèle mathématique a alors chuté. De 12 fois, les non vaccinés sont devenus seulement 4,3 fois plus contagieux selon ces auteurs.
Dans quelle mesure alors, les conclusions émises en juin 2021 gardent-elles leur pertinence?
Cette évolution montre la faible valeur des modèles mathématiques appliqués à l’épidémiologie. Une hypothèse non validée par une expérience n'est pas une vérité scientifique.
Les constatations in vivo concernant le variant Delta, montrent la possibilité de cluster en service hospitalier, même depuis l’éviction des soignants et professionnels non vaccinés, comme à Laval [22].
Ceci n’est pas étonnant puisque l’IHU Méditerranée, comme d’autres auteurs, a constaté que la charge virale n’était pas différente entre vaccinés et non vaccinés testés positifs. La charge virale s’avère corrélée au variant plutôt qu’au statut vaccinal [23].
Si l’on observe la situation du côté des vies sauvées, l’étude du Dr Harald Wallach [24] ne conclue pas en faveur de l’intérêt d’une vaccination massive. Pour 3 vies sauvées par la vaccination, il faudrait en accepter 2 perdues du fait de la vaccination.
Cette étude a été retirée après publication sans que l’on ne puisse clairement rattacher ce retrait à l’un des 3 motifs classiques de rétractation [25].
Ce ratio est d’autant plus contrariant que les décès liés au Covid surviennent chez des personnes de plus de 60 ans, majoritairement après 70 ans et sont en rapport avec des comorbidités. Les décès liés à la vaccination, eux, peuvent survenir indépendamment de l’age ou de l’existence de comorbidités.
L’idée d’une vaccination massive avec un vaccin dépourvu de pouvoir thérapeutique en période épidémique, est nouvelle dans l’histoire des pratiques médicales.
Parmi les voix de ceux qui s’en étonnent, le virologue et expert vaccinal Geert Vanden Bossche tente d’interpeller sur le danger potentiel de la vaccination de masse. Selon lui, il vaudrait mieux se limiter à vacciner les personnes susceptibles de développer des formes graves ou de décéder. Il considère que vacciner toute la population risque de prolonger et aggraver l’épidémie [26].
4. Effets Indésirables des injections
4.1. Données générales
La pharmacovigilance est mal adaptée à la vaccination [27] [28] [29] [25]. Le gold standard de cette discipline est la procédure "Challenge- Déchallenge- Rechallenge". C’est à dire apparition d’un événement indésirable lors de l’administration d’un médicament – disparition de l’événement à la suspension du médicament- réapparition de l’événement à la réintroduction du médicament .
Dans le cadre d’une vaccination, cette procédure n’est pas adaptée puisqu’on ne peut retirer le produit injecté. En cas de décès, seule une autopsie permet de poser un degré de probabilité quant à la responsabilité de l’injection dans le décès.
De plus, ne pourront être pris en compte que les événements qui surviennent rapidement après l’injection, et non ceux liés à son action à long terme sur l’organisme [30].
La procédure de pharmacovigilance passive en cours pour la vaccination anti-Covid est la déclaration spontanée des événements indésirables. On sait qu’il existe un problème de sous notification dans le cadre de la notification spontanée d’une pharmacovigilance passive, en comparaison à l’analyse active .
Il n’y aurait au mieux, que 10% (voir 3% concernant les vaccins) des événements réels déclarés lorsque la déclaration est spontanée [28] [31].
Pousser à la vaccination de toute la population fait disparaître le groupe témoin qui serait utile afin de réaliser des études de cohortes sur la mortalité globale et toutes sortes de morbimortalités, éléments essentiels pour évaluer l’imputabilité à long terme [27]. Ceci d’autant que les patients de la phase 2 de l’essai clinique des vaccins disponibles en France, ont depuis été vaccinés [28].
La lecture des rapports d’événements nécessite de garder à l’esprit que le lien certain de causalité n’existe pas en pharmacovigilance. Ainsi lorsque cette absence de certitude de lien est notée par les firmes pharmaceutiques ou les organes de surveillance pharmacologique, cela ne signifie pas forcément un doute lié à a situation, mais une limite technique de l’imputabilité [28] [29].
L’État des lieux de l’analyse de cette pharmacovigilance à l’international interroge quant aux disparités selon les pays. Est ce lié à la qualité des recensements? [25].
On retrouve toutefois une surmortalité globale en période post vaccinale dans plusieurs pays [25] [32].
La fréquence et la gravité des événements indésirables observés dans la base américaine VAERS, ainsi que la base européenne Eudravigilance C-19 [33], soulève des inquiétudes face aux injections anti-Covid.
Sur les données Européennes concernant le vaccin Pfizer, on comptait déjà 8997 décès sur Eudravigilance au 01/07/2021 [34] et selon une autre source 27262 décès tous vaccins confondus le 09/10/2021. Ce chiffre brut n’existe pas sur cette base de données peu ergonomique et ne permettant pas l'accès à la donnée brute [35].
On observe un fort taux d’événements indésirables graves (EIG) au regard de l’ensemble des événements indésirables (EI).
Ce taux augmente avec l’age: De 21% pour les 16-64 ans à 45% chez les plus de 85 ans en France avant la vaccination massive des jeunes gens.
Au niveau Européen, ce sont les 12-17 ans qui ont le plus fort ratio d’EIG avec 76% de risque d’EIG en cas d’EI.
La comparaison du risque de décès post vaccinal ou lié au Covid au 1er juillet (en imaginant que tous les EI soient déclarés) n’est favorable au vaccin que pour les plus de 65 ans [34].
L’analyse des données américaines montre des décès proches de l’injection, ce qui tend à les relier à celle-ci. Les EI rapportés le sont majoritairement dans les 3 premiers jours, et presque tous dans les 13 premiers jours.
La tolérance de cette mortalité est atypique dans le cadre d’une vaccination. Concernant la vaccination généralisée, on ne tolérait auparavant, pas de décès associés aux injections vaccinales car elles s’adressent à des personnes saines [36].
Ces observations françaises [34] [36] rejoignent les conclusions de nombreux professionnels.
Par exemple, un groupe de plus de 300 médecins brésiliens qui ont signé un document d’alerte
[37], et d’autres professionnels, tel l’immunologiste J.B Classen, qui considère la vaccination anti-
covid19 comme une catastrophe de santé publique [27].
Il souligne le biais utilisé par les firmes pharmaceutiques dans la présentation du rapport bénéfice/risque de leur produit. Ils ont choisi comme critère de comparaison les infections sévères pour le Covid plutôt que le critère de morbi-mortalité toutes causes qui est plus approprié. J.B Classen, insiste sur la nécessite pour les populations de ne pas subir d’altérations diverses de leur santé, voir la mort, sous prétexte d’éviter une forme grave de Covid.
Nous sommes face à cette situation selon lui, car les événements graves touchant les vaccinés lors des études sur l’humain, sont significativement augmentés sur la plan statistique, alors que le nombre très faible de Covid nécessitant une hospitalisation n’est pas significativement diminué dans leurs observations [27].
Suite à la généralisation de la vaccination des jeunes, L’ANSM, dans son rapport de septembre, reporte 206 signalements d’événements graves chez les 12/18 ans au regard des 6,4 millions de doses injectées [38]. Nous y voyons, comme les scientifiques et médecins sus-cités, un chiffre bien supérieur au nombre de jeunes auxquels le covid aurait généré une atteinte de gravité équivalente, et ainsi leur mise en danger par l’acte vaccinal. Concernant ce chiffre et les autres données fournies par l’ANSM, l’absence de données complémentaires précises ne permet malheureusement pas une analyse approfondie.
4.2. Atteintes observées et pistes physiopathologiques
Les pathologies signalées comme EI sont plus détaillées sur le VAERS [36] que sur les bases Européennes. Nous n’aborderons que quelques grandes catégories représentées.
On peut établir un certain parallèle entre les EI et les complications du covid.
• Les pathologies cardiaques. Un signal fort sur les péricardites, les endocardites, les infarctus du myocarde, y compris chez des jeunes sans antécédents favorisants, ont conduit le Royaume Unis à éviter l’injection des mineurs en juillet 2021. Ils ont choisi la prudence face au nombre d’accidents survenus, et les craintes de retentissement de ces atteintes cardiaques sur l’avenir de leurs jeunes, lorsque celles ci n’ont pas été létales [39]. Le VAERS rapporte 57% de moins de 30 ans concernant le total des myocardites/péricardites. Elles concernent majoritairement des hommes [36].
• Les accidents thrombo-emboliques (ATE) se sont multipliés eux aussi [36]. Les embolies pouvant toucher différents organes, les atteintes engendrées sont variables (par exemple la cécité causée par un thrombus au niveau de la veine centrale de la rétine jusqu’à l’embolie pulmonaire). Parallèlement aux accidents recensés, des médecins français ont évalué à 60% environ, les patients qui voient leur taux de D-Dimères augmenter après l’injection, de façon parfois prolongée
[11], sans thrombus repérable à l’imagerie. Les médecins supposent qu’il s’agit de micro thromboses dont on ne peut évaluer les conséquences à moyen et long terme sur les fonctions organiques. Cette positivité des D-Dimères signalée par le médecin allemand Sucharit Bhakdi s’est donc confirmée dans notre pays.
• Des anatomopathologistes attirent l’attention sur les atteintes multi-viscérales fréquentes retrouvées à l’autopsie [40]. Selon eux, un emballement lymphocytaire (Lymphozyten-Amok) est responsable de nombreuses atteintes.
Des troubles inflammatoires cardiaques et/ou disséminés, des agrégats lymphocytaires (dont certains au niveau cardiaque peuvent être cliniquement confondus avec un IDM), trois pathologies auto immunes rares et des ATE ont été retrouvés chez des patients décédés après le vaccin. Selon leur expérience, 7 autopsies sur les 10 qu’ils ont pratiquées, ont défini le vaccin comme cause probable du décès. Parmi elles, 5 le sont très probablement et 2 probablement. Parmi les 3 cas restants, l’un semble n’être qu’une coïncidence, l’un est encore en cours d’investigations, l’un est possible mais pas certain.
• Il semble aussi que la vaccination anti-Covid puisse favoriser la réactivation de virus dormants
(type CMV, Zona), ou favoriser des rechutes de cancer [7]. Les lymphopénies et éosinopénies profondes post Covid avec réactivation d’infection virale antérieur ou infection opportuniste, font penser certains médecins à une dépression lymphocytaire liée à la protéine spike [11]. Cela rejoint les observations des médecins légistes concernant les troubles lymphocytaires.
De plus, l’ARNm codant la protéine spike du vaccin a été modifiée au niveau de la nature de ses bases afin de diminuer son caractère inflammatoire [13]. Mais le remplacement de l’uridine par de la pseudo-uridine engendre une réponse plus immunosuppressive [11].
Ces événements sont, au moins en partie, compréhensibles dans le cadre de la pathogénicité de la protéine spike et de sa dissémination dans l’organisme qui a été constatée.
Les produits présents sur le marché Français font produire de la protéine spike par l’organisme du receveur.
Dans le cadre du covid, il a été établi que la protéine spike joue probablement un rôle important dans la physiopathologie des covid sévères et critiques. Elle serait la principale source des complications vasculaires [37].
La liaison de la protéine spike aux récepteurs ACE2 génère, entre autre, un phénomène inflammatoire.
Une analyse de lésions dermatologiques post vaccinales Pfizer et Moderna a montré la présence de protéine spike dans des micro vaisseaux profonds, tout comme on peut le constater chez les patients atteints de formes graves du covid.
Pour les auteurs de l’analyse, il faut envisager l’existence d’une réaction immunitaire contre la protéine spike produite par l’humain lors de la vaccination, ainsi que la stimulation de pathologies cutanées atopiques ou psoriasiques [41].
On remarque dans cette étude la gravité à injecter les vaccins à ARNm en intraveineux avec de sévères complications, et décès chez la souris.
On peut alors s’interroger sur le bien fondé de la consigne de ne pas effectuer de retour veineux lors des injections. D’autant que des professionnels sans expérience pratique de ce type d’injection ont été sollicités.
L’OMS affirme depuis 2015 que le contrôle d’absence de retour veineux n’est pas nécessaire dans le cadre de l’administration de vaccins [42] auparavant la technique d’injection intramusculaire en Z le recommandait [43].
La dose intraveineuse nécessaire à de graves complications n’étant pas définie, il pourrait être intéressant d’explorer plus avant cette question.
Des effets indésirables pourraient être liés à des composants des vaccins, volontairement ou involontairement présents, ainsi qu’aux procédés de fabrication. Ce lien sera difficile à effectuer car la composition exacte des vaccins est couverte par le secret industriel.
De plus, les vaccins n’ont pas été caractérisés. C’est à dire leur protocole de fabrication ne fait pas l’objet d’une description précise au 01/07/2021 [44]. Le rapport d’évaluation du vaccin
Pfizer/biontech stipule toujours que ces informations seront enrichies ultérieurement, à l’écriture de ces lignes début octobre 2021 [45].
Ainsi on ne peut être assurés de l'uniformité des contenus dans chaque lot pour ces produits. Ceci explique-t-il l'élévation ou non de D-Dimères en post vaccinal qui semble corrélée au lieu de vaccination, selon l’expérience rapportée par un médecin? [11].
La pharmacovigilance est encore compliquée par les mélanges de type de vaccin injectés chez un même patient, ainsi que les adaptations des modalités de conservation différentes des instructions initiales. Ces pratiques ayant été recommandées dans les notes de la Direction Générale de la Santé que nous avons reçues [46], il n’existe pas de catégories spécifiques à ces différentes situations dans la pharmacovigilance.
Nous ne développons pas ici le cas particulier de la grossesse car nous l’étudions actuellement avec attention.
L’assurance avec laquelle on nous présente l’innocuité certaine du vaccin sur les mères et les enfants ne nous semble cependant pas compatible avec l’absence de recul.
Les auteurs de l’étude principale sur la question, Shimabukuro, Kim et al. [47] précisent eux même en commentaire de leur tableau N°4 de résultats:
"Les données sur les pertes de grossesse sont basées sur 827 participantes du registre des grossesses v-safe qui ont reçu un vaccin [Pfizer ou Moderna] entre le 14 décembre 2020 et le 28 février 2021, et qui ont déclaré une grossesse terminée. Au total, 700 participantes (84,6 %) ont reçu leur première dose au cours du troisième trimestre. Les données sur les résultats néonataux sont basées sur 724 nourrissons nés vivants".
Ainsi que:
"Aucun dénominateur n'était disponible pour calculer une estimation du risque d'avortement spontané, car au moment de la rédaction de ce rapport, le suivi jusqu'à 20 semaines n'était pas encore disponible pour 905 des 1224 participantes vaccinées dans les 30 jours précédant le premier jour de la dernière période menstruelle ou au cours du premier trimestre. En outre, toute estimation du risque devrait tenir compte du risque d'avortement spontané spécifique à la semaine de gestation."
Cette étude présente par ailleurs l’inconvénient de porter essentiellement sur des soignantes (94%), blanches non hispaniques (79%). Ceci constitue un biais notable.
Vous comprenez certainement pourquoi nous attendons des résultats plus probants avant de nous engager, en notre âme et conscience, à assurer à toutes nos patientes que les vaccins à ARNm présentent pour elles un avantage indiscutable.
5. Retraits de médicaments, un peu d’histoire
On nous affirme la sécurité des produits malgré le faible recul temporel, en s’appuyant souvent sur la quantité de doses injectées, et la confiance que leur apporte l’OMS. On nous explique que nous pouvons faire confiance à l’industrie pharmaceutique.
Pourtant nous peinons à partager cette confiance, du fait des éléments rapportés ci-dessus, mais aussi au regard de nos connaissances des erreurs pharmacologiques passées.
Concernant la fiabilité d’un vaccin ou d’un médicament, la caution de l’OMS n’est pas une assurance indéfectible.
Prenons exemple du vaccin contre la dengue. Mis sur le marché après 15 ans de recherche et développement, il a été recommandé par l’OMS [48]. Pourtant, il a dû être retiré ensuite, pour avoir entraîné des décès d’enfants en les sensibilisant à la forme grave de cette maladie [49].
Du côté des firmes pharmaceutiques, mis à part Moderna qui commercialise son premier produit, tous les laboratoires qui commercialisent un vaccin anti-covid reconnu par la France, ont déjà été lourdement condamnés. Entre autres, pour avoir menti sur leurs produits ou dissimulé des données expérimentales [50].
Pfizer a reçu la plus grosse condamnation financière à ce jour aux États-Unis [51].
Johnson & Johnson a été lourdement sanctionné dans le scandale des opioïdes [52], ainsi que pour la présence d’amiante dans son talc [53].
Afin d’optimiser la campagne vaccinale, l’état français a fait appel à la société privée de conseil Mac Kinsey, bien connue du président [54]. Celle-ci fut aussi impliquée et condamnée dans le scandale des opioïdes. Leurs techniques de promotion conseillées aux firmes pharmaceutiques, dont Purdue et Johnson & Johnson afin d’augmenter leurs ventes, ont été jugées délictueuses [55].
Les scandales pharmaceutiques mettent du temps à émerger. Pour ne prendre que deux exemples loin d’être isolés: Il aura fallu 20 ans et 400.000 décès à l’heure de la condamnation pour celui des opioïdes [56].
Pour le Médiator® commercialisé en 1976, c’est en 1996 que les premiers doutes sont émis sur le produit, l’état se juge en faute de ne pas avoir agi, à partir de 1999, en 2009 le produit n’est plus commercialisé, et le procès n’aura lieu qu’en 2019 [57] [58]. En mars 2021 c’est l’ANSM qui a été à son tour condamnée pour cette affaire. Elle s’appelait Affsaps à l’époque, a été réorganisée et renommée suite à l’affaire du Médiator®. Malheureusement des spécialistes considèrent que son organisation actuelle présente d’importantes failles, entre autre liées au modèle de pharmacovigilance utilisé, ainsi qu’à son absence de souveraineté, car elle est soumise à l’avis de l’Agence Européenne du Médicament [59].
Ni la thalidomide ni le Distilbène® ne nous ont rendus assez vigilants sur les mécanismes qui mènent à de graves erreurs que paie la population, parfois sur plusieurs générations [60]. Et malheureusement les conséquences de ces erreurs ne s’arrêtent pas au jour du procès, ni au retrait du produit.
Concernant leurs vaccins à ARNm, les laboratoires pharmaceutiques ont signé un protocole de non responsabilités à l’égard des effets indésirables [61] qui ne favorise pas notre confiance au regard de leur passif en ce domaine.
N’est-il pas temps de se souvenir que ces produits ne bénéficient que d’une autorisation temporaire de mise sur le marché dans le cadre de l’urgence, et que le nombre d’injections ne peut remplacer le temps qui passe?
Pourtant nous nous précipitons pour injecter largement.
Nous injectons les jeunes gens déjà ou bientôt en age de procréer, les femmes enceintes ou allaitantes.
Ceci sans tenir compte de la bio-distribution du produit qui ne reste pas au niveau du deltoïde comme signalent les études de bio-distribution [45], ni de la présence de protéine spike au niveau des ovaires en post vaccination, ni de la toxicité intrinsèque de cette protéine [62].
Nous injectons massivement les soignants, éléments indispensables au fonctionnement de notre système de santé.
Après avoir dû venir travailler même malades du covid, les voici interdits d’exercer même non atteints de la maladie, et pour certains d’entre eux, interdits d’exercer un autre emploi afin de subvenir à leur survie, et celle de leur famille, pendant leur éviction.
La déstabilisation du système de soin qui en résulte amène des soignants vaccinés à s’interroger sur le bien-fondé de ces suspensions [63].
Nous injectons l’ensemble de la population, même si l’unique motivation est de garder leur emploi ou poursuivre leur formation pour certains, et de pouvoir accéder à leurs loisirs pour d’autres. Le consentement éclairé est-il respecté dans ces situations compte tenu de la mésaventure du centre de vaccination de Quimper? Ce centre de vaccination qui délivrait une information cohérente avec les consignes habituelles en ce domaine, s’est vu reprocher et interdire l’utilisation de la fiche d’information élaborée, afin de ne pas effrayer les patients [64].
Et l’on parle d’injecter les moins de 12 ans qui ne sont pas concernés par cette maladie. L’impact du Covid est négligeable dans cette tranche d’age, leur capacité de contagion est quasi nulle pour les plus jeunes d’entre eux. Leur charge virale, certes croissante avec l’age, reste, pour tous très inférieure à celle de l’adulte [65]. Vivre avec un ou des enfants de moins de 11 ans s’avère même protecteur pour les 18/65 ans face au risque de contracter la maladie [66].
Notons que cette étude, publiée en mars 2021 n’a été reprise que par 7 médias au 11/10/2021.
Bien que cela constitue une digression, nous souhaitons attirer l’attention sur les enfants. D’une part parce que leur situation nous touche, d’autre part parce qu’elle est l’illustration du décalage dans la cohérence entre les données scientifiques, les données médiatiques, et les règles instaurées.
L’anecdotique participation des enfants, en particulier jusqu’à 12 ans, à la propagation de la maladie a été affirmée par des universitaires de pédiatrie dès le printemps 2020 [67], et annoncée dans la presse généraliste à l’automne 2020 [68] [69].
Lors des fêtes de Noël 2020, pourtant, on leur a fait craindre de tuer leurs grands parents par des messages transmis, dans les spots télévisés et à l’école. On continue à les inquiéter à ce sujet malgré les éléments scientifiques en leur faveur déjà cités.
Les enfants sont soumis, à l’école, à des règles strictes qui nuisent à leur santé physique, morale ainsi qu’à leur développement.
Malgré les avertissements de professionnels sur cette souffrance et les retards d’acquisition engendrés, les enfants continuent d’être des cibles pour la politique sanitaire menée contre une maladie qui ne les concerne pas [70]. La médiatisation de projections alarmistes à leur sujet persiste. La dernière prévoyait 50.000 enfants contaminés à la rentrée scolaire [71], et au vu des données connues avait aussi peu de risques de se concrétiser que d’entraîner de graves conséquences.
6. Consensus scientifique, mythe ou réalité?
Comme nous l’avons exposé, toutes les études et observations scientifiques ne sont pas favorables à la vaccination anti-Covid. Il est alors possible d’objecter, que le consensus scientifique, lui, est en sa faveur.
La notion de consensus scientifique est elle une garantie de vérité au regard de la définition du philosophe de la science Karl Popper? Selon lui, une théorie ne peut être considérée comme scientifique qu’à la condition qu’elle puisse être réfutée. Sinon il ne s’agit pas de science mais d’idéologie [72].
Nos dirigeants, le ministre de la santé et les figures médicales présentées comme fiables portent donc la voix de ce consensus.
Prenons l’exemple de l’affirmation de l’inexistence des variants à l’automne 2020 par les figures d’autorités, en opposition aux affirmation du Pr Raoult. L’avenir a confirmé l’existence de mutations (classiques pour un coronavirus). Elles sont maintenant reconnues par tous. Concernant ce ce sujet, le consensus s’avère donc scientifique in-fine selon la définition de Karl Popper puisqu’il a pu être réfuté. Il l’était moins à l’automne 2020 lorsque le réfuter était compromettant [73].
Le consensus est bien scientifique, puisqu’il est réfutable. De ce fait il ne constitue pas une vérité immuable.
Sommes nous alors réellement face à un consensus au sujet du Covid, et de la vaccination contre cette maladie?
Selon Wikipédia, "le consensus implique un accord général [de la communauté scientifique travaillant sur un sujet], mais pas nécessairement à l'unanimité". C’est "un accord des volontés sans aucune opposition formelle" [74].
Notre abord de la crise du Coronavirus et nos recherches sur ce sujet nous ont permis de constater des oppositions formelles, sur divers points, dont celui de la vaccination anti-covid, comme nous en avons présenté quelques exemples.
L’écoute de voies dissidentes aurait été utile pour éviter des erreurs au sujet du Remdesivir® [75] [76] [77]. De même, concernant le caractère criminel de l’étude annonçant la forte toxicité de l’hydroxychloroquine [78] [79].
Ces exemples nous rappellent la fragilité d’un système s’il n’ouvre pas la porte aux opinions divergentes, à la remise en question des positions choisies par des institutions nationales ou internationales. Il perd en efficacité s’il se ferme [72].
Ainsi, à la lumière de la définition du consensus, ne s’agirait-il pas du consensus de certains scientifiques, popularisé par ceux qui ont droit d’expression sur les plateaux de télévision [71], non sans entraîner quelques dommages, dont la cristallisation des avis et positions qui nuisent à l’efficacité sanitaire ainsi qu’à la paix sociale?
Au delà des auteurs, médecins, pharmaciens, scientifiques, mathématiciens, statisticiens dont nous vous avons fait référence, de nombreuses voix s’élèvent en France et à l’international pour signifier leur désaccord concernant la gestion médicale et sociale du Covid.
Ceci n’est pas sans conséquences pour eux, ils ont été dénigrés, parfois harcelés et menacés, inquiétés par leur ordre, leurs tutelles, la justice. Ils ont perdus leur emploi, leur statut de chef de service, ou été mis en retraite.
Parmi eux se trouvent des prix Nobels: Le Pr Satoshi Omura, PhD Michael Levitt, le Pr Luc Montagner.
Des professionnels de renommée internationale, Professeurs ou médecins jusqu’à ce jour considérés dans leur domaine: John Ioannidis, Peter McCullough, Denis Rancourt, Harvey Risch, Kamran Abbasi, Roger Hodkinson, Robert Malone, Wolfgang Wodarg, Richard Fleming, Vladimir Zelenko, Sucharit Bhakdi, Mike Yaedon, Dolores Cahill...
En France, des professionnels ayant participé auparavant aux instances médicales nationales comme le Pr Didier Raoult et le Pr Christian Perronne, ou dont l’expertise reconnue, telle que celle de Jean-Dominique Michel, Alexandra Henrion Caude, Laurent Mucchielli, Christian Velot, Alain Bellaïche et tant d’autres s’est vue subitement remise en cause.
Les groupes et collectifs ont fleuri sur la planète: Laissons les médecins prescrire, Azy-Throd’Hospitalisations, Bon Sens, Conseil Scientifique Indépendant, America’s Frontline Doctors, International alliance of physicians and medical scientist, Doctors for covid ethics …
Comment expliquer la volonté de nier leurs observations? La science a-t-elle été détournée par les entités politiques et industrielles comme l’envisage Kamran Abassy? [80]
L’objectif de notre document n’est pas de répondre à cette question, mais simplement d’encourager à s’interroger pour progresser. Comment en sommes nous arrivés à choisir l’exclusion d’un nombre non négligeable de professionnels, plutôt que d’essayer de devenir plus efficients grâce à notre complémentarité?
Si nous laissions au patient le soin de choisir entre les différentes options possibles pour lui, à la suite d’une information non partisane, comme c’était le cas jusqu’à ce jour.
Conclusions
Nous vivons une perte de confiance face à nos autorités politiques et sanitaires qui se sont déjà trompées faute d’avoir écouté les oppositions plus tôt au cours de cette crise comme nous avons pu vous le présenter. Nous refusons d’offrir une confiance aveugle aux fournisseurs de médicaments au vu de leurs dérives passées, et de leur dégagement de toutes responsabilités pour les cas d’effets délétères de leur produit.
Nous déplorons l’absence de discussions de voies alternatives plus fiables que la vaccination covid afin de réduire le risque de transmission dans le cadre du soin (tests salivaires peu invasifs permettant une réalisation itérative par exemple).
Nous souhaitons une liberté totale vis à vis de la participation de nos patientes, ainsi que la notre au programme d’injections en cours du fait des éléments exposés, et de sa nature d’essai clinique de phase 3.
Nous vous demandons votre soutien dans cette démarche, en garantissant l'indépendance professionnelle des sages-femmes comme votre mission le prévoit.
Cette démarche s’inscrit tout à fait dans la reconnaissance de la sage-femme en tant que profession médicale, apte à l’analyse des données et à la prise de décision qui en émane.
La sage-femme en tant qu’acteur essentiel de santé publique.
La seule profession médicale qui prend soin à parts égales des femmes et de leurs enfants, et garde ainsi une préoccupation identique pour les conséquences immédiates et futures de toute décision concernant cette dyade.
En quelque sorte la reconnaissance à notre égard de ce que vous soutenez actuellement pour la profession dans sa globalité: Le respect et la reconnaissance.
Collectif
Sages femmes Unies pour un choix libre et éclairé en santé
Contact: sf.cles@protonmail.com
Annexe 1
Worldometers. Site de statistiques COVID internationales. Coronavirus-Israël https://www.worldometers.info/coronavirus/country/israel/
Capture d’écran au 28/09/2021
↑début vaccination mi-décembre 2020
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https://www.vidal.fr/actualites/18387-reduire-la-douleur-pour-mieux-faire-accepter-lavaccination-les-recommandations-de-l-oms.html
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Alimchandani M, Mba-Jonas A, Martin SW, Gee JM, Meaney-Delman DM; CDC v-safe COVID-19
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